Stanley Brinks – Digs
« When I’m with you nothing is sad » déclare Stanley Brinks, feu André Herman Düne, en ouverture de « Digs ». Cela s’adresse certainement à Clémence Freschard mais on pourrait le reprendre aisément [ … ]
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« When I’m with you nothing is sad » déclare Stanley Brinks, feu André Herman Düne, en ouverture de « Digs ». Cela s’adresse certainement à Clémence Freschard mais on pourrait le reprendre aisément [ … ]
Régulièrement, Stanley Brinks nous envoie un disque comme une carte postale. Celle-ci nous vient de Norvège, comme quoi, des bonnes nouvelles peuvent aussi arriver de là-bas cet été. Stanley et [ … ]
STANLEY BRINKS – Yodels (Radbab Records) [site] »Yodels » nous présente la formation resserrée, à la maison. André et Clémence Freschard constituent le groupe occupant tour à tour les rôles de [ … ]
STANLEY BRINKS – Another One Just Like That (Radbab Records) [site] Stanley remet le couvert avec »Another One Just Like That » enregistré avec The Wave Pictures, Clémence Freschard et Marie [ … ]
STANLEY BRINKS – Claps (Radbab Records) [site] Stanley Brinks Claps donc. Ou plutôt les amis de Coming Soon sont invités à jouer des mains et des langues pour claquer à [ … ]
H-BURNS, JASON MOLINA, STANLEY BRINKS – Mains D’Oeuvres, Saint-Ouen, Le 21/11/2007 Ambiance très intimiste dans la petite salle de Mains d’Oeuvres qui accueille trois grands songwriters. Drapés d’une faible lueur [ … ]
Freschard profite du confinement pour se mettre en congé de son rôle de compositrice et se fait, à nouveau, l’interprète privilégiée de Stanley Brinks. Et c’est mieux qu’un retour aux sources pour nos deux enivrés d’amour qui commencent, quand même, à avoir de la sacrée bouteille.
Pop et élégance au piano bousculée/tempérée par la crème de l’improvisation. La suédoise Rotem Geffen s’affranchit de ses marraines bonnes fées (Bush, Joanna Newsom. Björk ?) avec un recueil de petits bijoux fragiles et compliqués. A explorer et manipuler avec précaution.
Lonely Kid Quentin disparaît dans un nuage de ganja pour réapparaître en LKQ & Les Racines. Du dub pour hobos modernes, du reggae graillon pour satisfaire nos p’tits bidons. Lonely Kid Quentin continue de chanter notre époque et ça balance grave.
Petit édifice sensible, abri blues pour refuzniks de tout ordre.